Les images des artistes huguenots ont été utilisées comme masque pour créer une couche de détails en couleur sous la géométrie de la rosace. 


La palette de couleurs a été choisie pour être plus chaude sur la rue Berwick et plus froide sur la rue Hopkins, avec les détails dans des couleurs complémentaires.

Le cahier des charges initial des panneaux prévoyait l'impression numérique d'un bardage en verre à l'aide d'encres céramiques qui se fixent sur le verre pendant le chauffage. Un an plus tard, il a été décidé d'opter pour un revêtement en aluminium par perforation ou découpe au laser, avec un revêtement en poudre pour les couleurs.

Le changement de procédé a nécessité la transformation des « masques » en vecteurs par le traçage d'éléments du matériau d'origine. Les dessins se reflètent verticalement et horizontalement, s'appropriant les utilisations architecturales des matériaux naturels et maintenant une symétrie au centre de chaque panneau.

Alors que les images principales contenaient des formes géométriques faciles à suivre, pour les gravures de J-B. Monnoyer, j'ai choisi de donner une forme libre aux tracés et de permettre au motif d'apparaître par la répétition et le miroir.

La peinture en poudre exigeait que les couleurs potentielles soient choisies à partir d'un tableau RAL. La rosace a été posée sur une configuration de panneaux uniformément répartis.

Les couches sont séparées physiquement par 5 mm, ce qui permet à l'ombre de jouer avec les détails et les couleurs. Le dernier détail est l'incorporation de trous perforés qui correspondent aux écrans métalliques de la partie sud de l'élévation.

pour l'élévation de la rue Hopkins et les portails...